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Les partenaires-skippers de Guy Cotten, François Gabart et Anthony Marchand prêts à en découdre !

Les skippers des trimarans SVR-Lazartigue et Actual Ultim 3 s’élancent sur un parcours de 2 000 milles au départ de Concarneau, ville qui a vue naître la Marque Guy Cotten.
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François Gabart sur le Trimaran SVR Lazartigue ©Guillaume Gatefait

Quelques jours après avoir participé aux 24H Ultim, François Gabart et les autres marins de la classe Ultim se retrouvent pour la deuxième édition de la Finistère Atlantique. Cette course, qui s’annonce comme l’un des grands rendez-vous de la saison, démarre ce samedi 28 septembre à 13 heures, avec un parcours exigeant de 2 000 milles reliant Concarneau à Antibes. À bord de son impressionnant trimaran SVR-Lazartigue, François Gabart, figure emblématique de la course au large, se prépare à relever ce défi avec son équipage.

La Finistère Atlantique n’est pas une course comme les autres. Contrairement à la première édition, qui consistait en une boucle partant et arrivant à Concarneau, cette édition 2024 propose un format « one way », ce qui signifie que les marins navigueront uniquement en direction du sud, jusqu’à Antibes. Ce parcours est d’autant plus exigeant qu’il traverse la Méditerranée, une zone réputée pour ses conditions météorologiques imprévisibles et changeantes. Les marins devront faire face à des vents capricieux et des phénomènes météo pouvant radicalement modifier les stratégies de course.

François Gabart ne sera pas le seul à viser la victoire. Parmi ses principaux concurrents, Anthony Marchand, skipper du trimaran Actual Ultim 3, est également prêt à en découdre.

« C’est un super format. Sportivement, le fait d’aller en Méditerranée promet d’être intéressant. On sait qu’il s’agit d’un terrain de jeu atypique et complexe », a déclaré Anthony Marchand, évoquant les défis uniques de cette région où la météo peut changer rapidement et rendre la course très imprévisible. Contrairement aux courses où la vitesse pure est primordiale, la Finistère Atlantique semble offrir plus de place à la stratégie et à la tactique. Marchand voit en cela une opportunité pour son équipage, qui mise sur une diversité de compétences et d’expériences. Il a notamment reconduit plusieurs membres de son équipage des 24H Ultim, dont Marie Riou, navigatrice aguerrie, Thierry Chabagny, Alan Pennaneac’h, Alan Roberts et Ronan Treussart, tous ayant démontré une grande complémentarité lors de la dernière course.

 

« L’objectif pour nous est de régater au contact. On a quelques atouts sur un tel tracé », a-t-il confié, soulignant que l’expérience accumulée pourrait faire la différence face à des concurrents comme François Gabart ou Charles Caudrelier.

Ainsi, avec des skippers de renom tels que François Gabart et Anthony Marchand à la barre de leurs impressionnants trimarans, la deuxième édition de la Finistère Atlantique s’annonce palpitante. Que ce soit François Gabart, avec son SVR-Lazartigue au design futuriste et ultramoderne, ou Anthony Marchand avec l’expérience éprouvée d’Actual Ultim 3, les marins de la classe Ultim devront faire preuve d’une navigation tactique, précise et réactive pour espérer remporter la victoire dans cette course mythique. Entre la complexité des conditions en Méditerranée et l’aspect stratégique que promet cette épreuve, les amateurs de voile auront les yeux rivés sur ce duel au sommet entre les meilleurs navigateurs de la planète.

François Gabart avec son équipage et Anthony Marchand et son équipage ont embarqué avec nos tenues dédiées aux Navigations Haute Mer

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