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La Golden Globe Race, 50 ans après !

30 navigateurs, 30 000 miles non-stop en solitaire, sans assistance, pour célébrer le premier tour du monde historique de Sir Robin Knox-Johnston, en solitaire et sans escale lors de la course du Golden Globe du Sunday Times en 1968/69,
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La Course du Golden Globe 2018 est partie des Sables-d’Olonne le 1er Juillet 2018.

L'objectif de cette édition est de réaliser un tour du monde à la voile en solitaire, sans escale, via les cinq grands capes et un retour jusqu’aux Sables-d’Olonne. Les 27 participants (3 abandons) naviguent sur des voiliers similaires à celui utilisé par Sir Robin lors de cette première course.

Ils naviguent avec les équipements de l’époque, sans technologie moderne, ne bénéficient pas d’aides à la navigation par satellite. Les bateaux ont tous une longueur de 32 à 36 pieds (9,75 – 10,97 m) sont conçus avant 1988, et possédent une quille longue avec un gouvernail attaché. Ces voiliers sont de construction robuste et solide, et de conception semblable au bateau de 32 pieds de Sir Robin, le Suhaili. ils naviguent au sextant sur des cartes papier sans instruments électroniques ni pilotes automatiques. De temps en temps seulement, ils pourront parler à leurs proches et au monde extérieur via la propagation des ondes courtes et le réseau mondial des radio-amateurs lorsque la reception le permettra.

A l’inverse du monde actuel professionnel de la compétition nautique de haut niveau, cette édition nous fait remonter vers une époque connue comme « l’âge d’or » de la voile en solitaire.  Suhaili était un robuste voilier de 32 pieds, avec un double ketch, basé sur une conception de William Atkins ERIC. De construction solide, en teck, il n’était pas équipé d’ordinateurs, de GPS, de téléphone par satellite, ni de dessalinisateur. Robin a répondu au défi sans aide extérieure, ni prévisions météorologiques du monde moderne. Il avait seulement un chronomètre de marine et un barographe pour faire face au monde, seul, et récupérer l’eau de pluie pour survivre. Mais il était celui qui ne faisait qu’un avec l’océan, capable de contempler et d’absorber tout ce que ce voyage épique avait à offrir.

Le défi est pur et très brut, plaçant l’Aventure au premier plan. C’est une course pour «ceux qui osent», comme ce fût le cas pour Sir Robin car les navigateurs passeront, près d'une année, environ 300 jours en mer !

La Société a le plaisir d'équiper Jean-Luc Van den Heed depuis de très nombreuses années. Il est parti pour son tour du monde avec une tenue offshore, des sous vêtements et nos sacs.

Bon vent VDH !

Article extrait du site officiel

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